Dans le récit qu’il a fait de l’attentat de Crépol, Patrick Cohen a, sans le vouloir, tout dit de la soumission des médias, mais pas seulement. Lisez la suite…
Nous allons partir de deux expressions que Cohen a utilisées dans sa chronique de « C à vous » pour transformer les criminels en victimes et les victimes en coupables. Il en était à deux doigts de conclure par « bien fait pour eux, à ces ploucs de racistes blancs », mais il s’est arrêté juste à temps, sous les applaudissements de ses comparses du sévice public. Ses paroles précises sont entre guillemets : des jeunes « venus là pour s’amuser et draguer les filles ». L’un d’eux aux cheveux longs se fait traiter de « chiquita » par un « rugbyman ». Les « offensés » réagissent comme on sait.
Des jeunes venus à Crépol pour s’amuser et draguer les filles. Les jeunes sont des garçons. Il n’y a pas une seule fille avec eux. Ils sont venus à Crépol draguer des filles « blanches »… Parce que dans leur cité du Miroir, les « filles » ne sortent pas le soir, ne vont pas au bal, ne vont pas au cinéma. Quand elles s’aventurent, en plein jour, à l’extérieur de leur immeuble, c’est bâchées, voilées, momifiées, bref, vêtues de la manière la plus « invisibilisante » possible pour ne pas se faire harceler, frapper, violer dans une cave. Cela, bien sûr, Cohen ne l’a pas dit, ni d’ailleurs ses collègues aussi soumis que lui. Ces jeunes, dont on devine la frustration sexuelle, sont persuadés que les « blanches », qui ne sont pas vêtues d’une manière pudique comme les meufs de la Cité, sont par conséquent impudiques (CQFD). D’impudique à salope qui ne demande qu’à se faire sauter par des « vrais » mâles, pas par des céfrans à moitié impuissants, il n’y a qu’un couteau. D’où la drague lourde « t’es belle, t’es bonne, je vais te faire jouir, espèce de sale pute » dont témoignent les pauvres jeunes françaises qui ont affaire à ces Don Juan dans les transports en commun, dans les rues colonisées, et un peu partout dans notre pays si accueillant. Je mettrais ma main au feu qu’en creusant un peu la question, on découvrirait que ces fameux « jeunes » venus s’amuser et draguer les filles n’ont pas échappé à ce comportement communautaire. D’où la réaction d’un rugbyman, qui, lui, n’aurait pas hésité à sortir s’expliquer avec « chiquita », sans imaginer qu’il tombait dans un véritable guet-apens.
Les jeunes ont été « offensés », blessés, choqués, traumatisés par l’insulte gravissime proférée envers l’un des leurs par un « rugbyman » ; « rugbyman », traduisez en langage Cohen : un lourdaud, bas de plafond, alcoolique, raciste, votant RN, cherchant la bagarre à des petits anges venus là pour s’amuser et draguer les filles… Mais les offensés ne se sont pas dégonflés. Ils ont saisi leur smartphone dernier cri pour raconter l’offense qu’ils venaient de subir à des copains de la Cité, lesquels, se sentant aussi offensés, ont rappliqué dare dare, armés de bougies et de fleurs pour laver l’affront dans le sang. Admirable solidarité. Ce ne sont pas des Français blancs, ces chochottes sans c… qui seraient venus à l’aide de l’un des leurs pareillement offensé.
Ce pauvre Patrick Cohen, dans son réquisitoire ignoble, ne s’est même pas rendu compte qu’il validait ce que tous les Français dotés d’une paire d’yeux et d’un cerveau en état de marche ont constaté depuis longtemps : la civilisation venue de l’autre rive de la Méditerranée nous démontre tous les jours qu’elle est incompatible avec la nôtre, que là où elle passe, les autres se couchent ou disparaissent. Qu’on le veuille ou non, ce sera eux ou nous. Cohen le dhimmi voudrait que ce soit eux. Nous, on n’a pas envie d’être remplacés. Pour nos enfants, pour la mémoire de nos pères, de nos grands-pères, pour tous ceux qui ont ont donné leur sang pour que la France reste la France. Nous ne sommes pas « au bord » de ceci ou de cela, comme le psalmodient les rassuristes, nous sommes en train de tomber dedans.