Quels documents secrets se trouvent entre les mains du président algérien Tebboune qui lui permettent d’humilier à ce point Emmanuel Macron et donc la France qu’hélas il représente ? La question peut se poser.
Si je savais dessiner, je présenterais Emmanuel Macron dans une position identique à celle de l’hideuse grenouille verte qui domine actuellement la place Vendôme.
Dès les premières heures de l’arrestation de Boualem Sansal, celui qui est notre Président aurait dû suspendre ces fameux accords de 1968.
Peu de citoyens français savent ce que ces accords offrent aux Algériens. Même les Algériens ne sont certainement pas au courant mais, fort heureusement, des associations largement subventionnées sont à leur disposition pour les renseigner, car il s’agit d’un véritable labyrinthe destiné surtout à dissimuler le véritable coût de l’immigration algérienne vers la France. On peut l’estimer au minimum à 2 milliards, sans compter le prix à payer pour la délinquance, les frais de justice, d’incarcération, et des forces de l’ordre.
Ces privilèges sont offerts aux migrants algériens, complétés par la convention de la Sécurité sociale de 1980.
Ces privilèges exceptionnels font qu’ils sont gagnants d’un bout à l’autre de leur présence sur notre sol.
Il suffit à un Algérien d’un visa de court séjour pour obtenir un certificat de résidence avec regroupement familial.
Le conjoint d’une Française a droit à un titre de séjour sans devoir obtenir un visa et cela, bien évidemment, facilite les mariages blancs.
Aucune condition de résidence n’est nécessaire pour obtenir le RSA ou l’APSA (revenus minimum et minimum vieillesse), même sans avoir jamais cotisé en France.
Les Algériens sont les seuls migrants à n’avoir aucune obligation à respecter les valeurs de la République.
Les soi-disant étudiants algériens obtiennent automatiquement un titre de séjour en tant qu’entrepreneurs ou commerçants sans rien n’avoir à prouver. Donc, ces étudiants, à quelques rares exceptions, ne retournent pas dans leur pays, l’Algérie.
L’administration ne peut en aucun cas retirer un titre de séjour à un migrant algérien même s’il constitue une menace pour l’ordre public. Même pas en cas de polygamie, pourtant interdite dans notre pays.
La dénonciation de ces accords de 1968 n’est plus à l’ordre du jour, a annoncé le nouveau ministre de l’Intérieur.
Mais il y a pire encore, oui c’est possible : tous les nationaux français résidant dans un pays étranger perçoivent leurs pensions de retraites directement payées par la France. Ce qui est parfaitement logique. L’Algérien refuse de payer les pensions aux retraités algériens qui ne vivent pas en Algérie (donc en France pour la très grande majorité). Vous n’allez pas me croire, mais c’est la France qui prend en charge le paiement de ces pensions. Ce sont nos impôts qui sont détournés ainsi et cela sans aucune obligation juridique ni internationale.
Combien de temps allons-nous subir une telle lâcheté ? Et cela n’offusque personne. Quelle honte !
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