Depuis qu’il y a les réseaux sociaux, à chaque fois qu’un personnage important disparaît, comme on vit une époque où il est difficile de fermer sa gueule, on se demande ce qu’on va bien pouvoir dire. Comme d’habitude, on est confronté au triptyque : le « de mortuis nihil nisi bonum » des Romains, le « (...)