Par Gérard-Michel Thermeau.
Rien n’est plus surprenant pour nos contemporains que les réactions de l’opinion, où la joie se mêlait à l’indifférence, à l’annonce du bombardement d’Hiroshima.
La presse française, L’Humanité comprise, se félicitait d’entrer dans l’ère atomique, synonyme de progrès infini et (...)