Mais, ajoute-t-il, "je tiens à ce qu’ils se fassent dans la transparence, qu’ils ne mettent pas en cause notre souveraineté et notre indépendance. Il faut être extrêmement vigilant, il y a des contrôles. L’Etat se protège". S’agissant précisément du fonds franco-qatari évoqué, dit encore le chef du gouvernement, "il est modeste : 100 millions d’euros".
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