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Assassinats politiques : quand l’État profond fait le ménage

, par  Planetes360 , popularité : 41%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
Bonjour Visiteur à partir du 15 juillet 2025

Le 12 novembre à 19h, Hubert Marty-Vrayance, ancien commissaire de la Direction centrale des Renseignements généraux, était l’invité de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

Figure controversée mais incontournable, spécialiste du renseignement et témoin direct des mécanismes de pouvoir les plus opaques, il est venu présenter son nouvel ouvrage : Face à l’État profond.

Son discours tranche radicalement avec la version officielle du fonctionnement démocratique : derrière le décor institutionnel, il décrit un pouvoir parallèle, organisé, coordonné, actif depuis un siècle, qui agit sans mandat, sans contrôle et sans scrupules.

Un système pour lequel la “raison d’État” n’est pas une doctrine, mais un permis de tuer.

La raison d’État : un pouvoir qui élimine pour durer

Pour Marty-Vrayance, il faut cesser de considérer la raison d’État comme un concept juridique ou philosophique.

C’est, selon lui, le cadre moral qui justifie l’illégalité au nom de l’intérêt supérieur — un intérêt défini uniquement par ceux qui détiennent le vrai pouvoir.

Ce pouvoir n’est pas élu.

Il n’apparaît jamais sur les plateaux télé.

Il agit dans l’ombre des chancelleries, des agences de renseignement, des banques, des grandes ONG, des multinationales et des réseaux diplomatiques.

Depuis un siècle, cet État profond : infiltre les gouvernements, dirige les crises, manipule les conflits, neutralise les opposants, contrôle les récits politiques et médiatiques, fabrique les guerres et les transitions de régime, impose sa vision du monde au-delà des frontières nationales.

La raison d’État n’est qu’un masque.

Derrière, il y a la logique du contrôle total, une stratégie qui vise à effacer la souveraineté des nations au profit d’un empire global fondé sur l’influence, la finance et la peur.

Créer la menace pour imposer la solution : la méthode des opérations noires

De Washington à Paris, les opérations clandestines ont toujours existé. Mais selon Marty-Vrayance, leur rôle a changé : elles sont devenues des outils d’ingénierie sociale.

Terrorisme, spéculation, pandémies, scandales politiques…

Autant d’événements présentés comme accidentels, mais qui servent des agendas précis.

Ces crises permettent : d’imposer des lois d’exception, de renforcer la surveillance, de justifier la censure, de centraliser le pouvoir, d’accélérer la dépendance des peuples.

L’État profond agit par la peur, car la peur est un moyen de contrôle plus efficace qu’une armée.

Il orchestre les réactions, façonne l’opinion, puis présente ses propres mesures autoritaires comme des évidences.

La démocratie devient alors un théâtre, où les décisions réelles se prennent hors scène.

Les Kennedy : l’exemple d’une guerre ouverte avec l’ombre

L’un des passages les plus marquants de l’intervention concerne les frères Kennedy.

Pour Marty-Vrayance, leurs assassinats ne sont pas des mystères irrésolus : ce sont des exécutions politiques.

John et Robert Kennedy avaient osé : défier la CIA, vouloir reprendre le contrôle de la monnaie, réduire l’influence du complexe militaro-industriel, s’opposer à la guerre permanente.

Ils ont été éliminés pour cela.

Les versions officielles — tireur isolé, hasard tragique, fatalité — ne servent qu’à protéger les responsables.

Après 1963, aucun président américain n’a osé défier frontalement la machine de guerre.

Les agences fédérales sont devenues le véritable centre de pouvoir, reléguant les présidents au rôle de gestionnaires, voire d’acteurs symboliques.

Les Kennedy n’ont pas seulement été assassinés : ils ont servi d’exemple.

Trump : la cible contemporaine d’un appareil qui élimine ses opposants

Pour Marty-Vrayance, la guerre contre Trump n’est pas d’abord une guerre partisane.

Ce n’est pas une opposition républicains/démocrates.

C’est un affrontement entre un outsider anti-système et un appareil de pouvoir enraciné depuis la Seconde Guerre mondiale.

Il affirme que Trump a déjà survécu à deux tentatives d’assassinat déguisées, car il menaçait : les réseaux du renseignement, la diplomatie parallèle, les alliances clandestines internationales, la politique de guerre permanente.

Dans cette analyse, les véritables adversaires de Trump seraient : la CIA, le FBI, certains réseaux du renseignement étranger, dont le Mossad, et les puissances financières alignées sur l’agenda mondialiste.

Leur arsenal est vaste :

empoisonnements, sabotages, opérations psychologiques, campagnes de diffamation, manipulations judiciaires, attaques financières.

Le nouvel assassinat politique, dit Marty-Vrayance, n’est plus une balle.

C’est une campagne médiatique, un blocus judiciaire, un séisme numérique, un assèchement économique.

Un empire clandestin aux ramifications globales

Aujourd’hui, ce pouvoir parallèle s’étend sur : les services de renseignement, la finance internationale, les Big Tech, les industries pharmaceutiques, la haute diplomatie, les institutions globales comme l’UE, l’OTAN, l’OMS ou la Banque mondiale.

Cet État profond n’a pas besoin de gouverner officiellement.

Il infiltre, influence, impose.

Il fabrique les crises pour remodeler les peuples selon son projet.

Mais un phénomène nouveau apparaît : la fin de son invisibilité.

Les populations voient, comprennent, s’informent, comparent.

La peur change de camp.

Et un pouvoir qui ne peut plus agir dans l’ombre perd sa force.

Conclusion

L’intervention d’Hubert Marty-Vrayance sur Géopolitique Profonde dévoile une lecture radicale mais cohérente des crises contemporaines :

derrière les institutions démocratiques se cache une structure clandestine, organisée, pérenne, dont la raison d’être est le contrôle.

Ce pouvoir n’a pas peur des peuples.

Il a peur de la lumière.

Le réveil des consciences, la résurgence de la souveraineté, la méfiance envers les récits officiels ne sont pas des dérives : ce sont des antidotes.

Quand la lucidité remplace la peur, quand les nations reprennent le contrôle, l’État profond s’effondre parce qu’il ne peut plus opérer sans ombre.

La bataille n’est pas terminée.

Mais pour la première fois depuis des décennies, elle devient visible — et donc, réellement politique.

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